Source d’inspiration pour ajuster pensées, émotions et actions vers un bien-être durable et résilient. Focus 2018 : stress et burn-out au travail. Aussi sur www.centreface.org et sur Amazon.fr
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Stress
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Une réflexion de Georges Orwel bien appropriée :
´Le discours politique est destiné à donner aux mensonges l’accent de la vérité, à rendre le meurtre respectable et à donner l’apparence de la solidarité à un simple courant d’air’. G. Orwel
#FACEmoment: « Ce qui est crée par l’esprit est plus vivant que la matière » Charles Baudelaire. Tout ce qui se crée est généralement porté par une idée, l’esprit. Le réel est quand l’esprit le conceptualise. De la même manière ceux qui pensent naïvement qu’une ´vraie‘ maladie est forcément organique ne réalisent point que le stress est aussi physique. Ainsi la souffrance est réelle…Pensons toujours aux FACES cachées de la réalité#FACEScachéesduBurnout #emotion #stress #Baudelaire
Un rappel des défis que représente la pandémie SARS-Cov-2, coronavirus. La seule stratégie gagnante paraît être la vaccination pour autant qu’un pourcentage significatif de la population l’accepte. Cette pandémie est liée à une zoonose infectieuse et le réservoir de l’agent transmissible est un animal non humain. Comme pour d’autres zoonoses contrôlées avec succès (ex: fièvre jaune, SARS…) le vaccin reste une protection efficace. A l’heure d’un débat autour d’une éventuelle vaccination obligatoire pour certains professionnels en contact avec des personnes très vulnérables, une information éclairée peut être nécessaire. Cela nous concerne tous. À lire:
#covid19 #coronavirus # emotion
En dehors de l’hypothèse encore en cours d’investigation d’un accident de laboratoire, il semble que la Covid-19 soit une anthropo-zoonose émergente pour laquelle une éradication n’est pas envisageable. Le Pr Dominique Baudon revient pour nous sur quelques notions souvent oubliées sur ce type de maladies […]
— À lire sur www.jim.fr/e-docs/00/02/DF/8B/index.phtml
Coronavirus: la transmissibilité du variant delta serait nettement supérieure à celle de la souche originale. Le danger de transmission via les enfants contaminés par ce variant semble important et les non vaccinés seraient les plus fragilisés. À voir:
Le pays le plus heureux selon le classement 2021 de l’ONU (top 10) | Psychomédia
Ça vaut ce que Ça se prétend être: le classement des pays les plus heureux. Ce classement étant subjectif on peut penser que certains sont plus lucides que d’autres. Au fait qui a déjà rencontré un français qui se disait heureux? Question de culture? Lucidité? État éthéré? Autant de facteurs à considérer. À lire… 😉
La France n’a pas réussi à créer un vaccin anti-COVID-19 dans un temps concurrentiel comparé à d’autres pays (comme l’Angleterre, l’Allemagne ou l’Inde). Que cache un tel échec? Il semble qu’il en va dans les pôles de recherche comme dans les pôles hospitaliers. Nous avons certes des chercheurs et des médecins brillants, mais sont-ils toujours reconnus et recrutés là où ils pourraient faire la différence? Nous rappelons dans l’ouvrage » Les faces cachées du burn-out – Burn-in, bore-out et burn … –« la dérive d’un système français qui ne favorise ni la pluralité et encore moins l’audace et l’autonomie. Ce sont pourtant des facteurs de stimulation intellectuelle dans tous les domaines.
Contrairement à la tradition de cooptation privilégiée en France, la diversité ou la pluralité réelle offre un terreau fertile aux avancées scientifiques comme en témoignent les vaccins anti-COVID récents. Ainsi des chercheurs turco-germaniques en Allemagne et des chercheurs français (!) aux USA, entre autres, ont contribué aux vaccins anti-COVID, en travaillant sur un système de vaccination initié par une chercheuse hongro-germanique.
L’échec vaccinal de la France rappelle qu’une gouvernance à tendance autocratique, peu orientée sur la valorisation des bonnes pratiques, peut finir par engendrer des vagues bien au-delà de ses victimes immédiates. L’épuisement professionnel, le burn-out ou le bore-out, peuvent démotiver des employés, des chercheurs et des praticiens jusqu’à perdre toute perspective, jusqu’au suicide, comme nous le rappelons dans le livre » Les faces cachées du burn-out – Burn-in, bore-out et burn … –«
En finale, nous ne pourrons faire l’économie d’une introspection systémique si nous voulons favoriser les compétences et nous vacciner contre l’entre-soi et la bureaucratie asphyxiante. La France a des talents, déconfinons-les !
Sans idolatrie aucune c’est un plaisir intense de revoir une Amérique USA qui renoue avec une idée de réparation, d’affirmation de pluralité et du vivre ensemble. Un «casting » gouvernemental riche en symboles et en diversité. On se réjouit d’ entendre à nouveau des expressions qui traduisent de l’affect et le respect de l’autre comme: kindness, wondering, respect, united, together, I suppose, I beg your pardon…Très loin de l’ignorance arrogante du précédent mandat présidentiel. Cette triste mandature américaine écoulée rappelle que la forte concentration des pouvoirs, comme celle qu’autorise la cinquième république à un président en France, laisse la porte ouverte à une gestion désastreuse du pouvoir et des responsabilités publiques . Si God peut sauver l’Amérique, la France, elle, doit encore surveiller sa place de fille aînée
de la Démocratie. Espérons que nos démocraties amèneront les facteurs correctifs salutaires à la liberté et la bienveillance, soit au bien être de tous !
Une réflexion bien appropriée :
´Le discours politique est destiné à donner aux mensonges l’accent de la vérité, à rendre le meurtre respectable et à donner l’apparence de la solidarité à un simple courant d’air’. G. Orwel
Une initiative qui pourrait inspirer l’Education Nationale. Les jeunes sont en effet au contact de la dimension fragile de leur construction existentielle!
Les psychiatres du Québec réclament un cours d’éducation à la santé mentale
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Inquiète pour la santé mentale des jeunes de la « génération alpha », soit les enfants nés depuis 2010 dont l’existence est marquée par l’utilisation des écrans, l’Association des médecins psychiatres du Québec lance un important mouvement de réflexion et souhaite implanter dans les écoles des cours d’éducation à la santé mentale.
ARIANE LACOURSIÈRE LA PRESSE« La demande de services augmente, augmente, augmente. […] À ce rythme, on ne parviendra pas à aider tous ceux qui en ont besoin », affirme la présidente de l’Association des médecins psychiatres du Québec, la Dre Karine Igartua, instigatrice du mouvement Alphas connectés.
Sur le terrain, la hausse de la détresse chez les jeunes est manifeste.
Proportion de jeunes du secondaire aux prises avec un niveau élevé de détresse psychologique 2016-2017 : 29 % 2010-2011 : 21 %
Source : Institut de la statistique du Québec
Prévalence des troubles anxieux chez les jeunes
2016-2017 : 17,1 % 2010-2011 : 8,6 %
Source : Institut de la statistique du Québec
« Les pédopsychiatres disent que de 40 % à 50 % des cas qu’ils voient maintenant aux urgences, ce ne sont pas des cas de maladies mentales, ce sont des cas de crises sociales comme “mon chum m’a laissée” ou “j’ai coulé un examen”, illustre la Dre Igartua. […] On a des jeunes sous pression et ils n’ont pas l’air d’être capables de gérer leur pression. Qu’est-ce qu’on fait comme société qui fait que nos jeunes sont si malades ? »
D’où l’idée du mouvement Alphas connectés, qui vise à s’interroger sur les « normes sociales et les habitudes de vie qui se sont développées au fil des ans et qui nuisent au développement des jeunes et à leur bien-être ». Déjà, des organismes comme la Fédération des médecins spécialistes du Québec se sont joints à l’initiative.
Présidente de l’Ordre des travailleurs sociaux et des thérapeutes conjugaux et familiaux du Québec, Guylaine Ouimette appuie l’initiative. « Chez les 6-8 ans, il y a plus de déprime et de détresse. C’est absolument terrorisant », affirme Mme Ouimette, qui espère que le mouvement amènera la société à être « plus consciente du problème » et à « trouver des solutions ».
Certes, la psychiatrie est le « parent pauvre » en santé et ne reçoit que 6 % du budget de la santé au Québec, souligne la Dre Igartua. « Mais outre le fait qu’on est sous-financés, la demande est en train d’augmenter. Si on ne s’attaque pas à ce qui est en train de se passer comme société, on n’y arrivera jamais », plaide la psychiatre.
Génération écran
Alphas connectés s’intéresse à la génération dite « alpha », composée des enfants nés à partir de 2010 – une génération pratiquement née avec un écran dans les mains qui « devra avoir les outils pour gérer l’impact psychologique de la vie numérique ».
Car l’utilisation constante des écrans a des conséquences sur la santé mentale des jeunes, rappelle la Dre Igartua. Le temps d’écran gruge entre autres des heures de sommeil, diminue la propension des jeunes à faire de l’activité physique et réduit leurs interactions sociales, autant de facteurs qui augmentent les risques de souffrir de troubles mentaux.
La Dre Igartua espère que ce mouvement suscitera des discussions.
Parlons à la maison avec nos enfants. Essayons de les appeler de vive voix au lieu de les texter. On a perdu l’habitude de se parler. Les employeurs peuvent aussi adopter des politiques pour favoriser la conciliation travail-famille…
La Dre Karine Igartua
Elle invite les parents à réfléchir à leur propre utilisation des écrans. Une étude publiée dans la revue américaineChild Developmenta montré que près de la moitié des parents interrompent leurs activités avec leur enfant pour consulter leur téléphone cellulaire au moins trois fois par jour, souligne la psychiatre.
La tendance à la surprotection et à la surstimulation, qui fait diminuer le temps de jeu libre chez les jeunes, doit aussi être remise en question. « Les jeunes ne sont plus capables d’être et d’exister sans être stimulés constamment, dit la Dre Igartua. On est tous coupables de ça. Les jeunes n’ont plus d’espace mental pour rêvasser, s’ennuyer… de juste faire une chose à la fois. »
La Dre Igartua se défend de rejeter la faute sur les parents. Elle rappelle que 48 % d’entre eux ont souvent ou toujours l’impression de courir toute la journée, selon l’Enquête québécoise sur l’expérience des parents d’enfants de 0 à 5 ans. « Mais il faut trouver des solutions pour mieux les soutenir. […] Ça fait partie des mœurs d’être toujours branché. Les parents sont aussi victimes de ça que les jeunes. »
Un cours dès la maternelle
La proposition principale du mouvement Alphas connectés est d’instaurer un cours d’éducation à la santé mentale de la maternelle jusqu’à la fin du secondaire. Les tout-petits pourraient entre autres apprendre à reconnaître et gérer les quatre émotions de base (joie, colère, tristesse et peur).
Les élèves du secondaire pourraient apprendre les causes et les facteurs de risque des troubles mentaux, approche qui a porté ses fruits ailleurs dans le monde et permis d’apprendre aux jeunes à mieux faire face aux aléas de la vie, affirme la Dre Igartua. Mais au-delà de ce cours, l’Association des médecins psychiatres espère que des solutions seront implantées dans toutes les sphères de la société. « C’est le problème de tous », dit la psychiatre.
« Le quotidien est étouffant », témoigne le fils d’Harold LeBel
Fils du député de Rimouski, Harold LeBel, Joseph-Étienne LeBel ressent de l’anxiété « depuis toujours ». Une anxiété paralysante, qui l’a longtemps empêché de savourer pleinement la vie.
« Mon stress est beaucoup philosophique. Je me demande tout le temps ce que je vais faire la semaine prochaine. Si je suis à la bonne place. Pendant longtemps, ça me paralysait au point de me clouer au lit », dit-il.
Le jeune homme aujourd’hui âgé de 23 ans estime que la société actuelle contribue à accentuer le stress chez les jeunes. « La société fait partie à 100 % de mon problème. Pourquoi veut-on autant performer ? Je ne comprends pas. Et je ne suis pas le seul », dit-il.
Pas un cas unique
Pour le jeune homme, « le quotidien est étouffant ». « Pour moi, des choses simples comme faire l’épicerie sont angoissantes. Je me demande si j’ai assez d’argent, assez de temps pour y aller… Et on se fait dire : “Pourquoi tu n’es pas capable de faire une chose si simple ?” », illustre-t-il.
Joseph-Étienne LeBel n’est pas le seul dans sa situation. Les psychiatres du Québec s’inquiètent de la hausse de la détresse et de l’anxiété chez les enfants. Ils estiment qu’une grande réflexion de société doit avoir lieu pour aider les jeunes, dont ceux de la génération « alpha », nés à partir de 2010 et ayant toujours vécu avec les écrans, à avoir une santé mentale plus épanouie.
Même s’il ne fait pas partie de cette génération, Joseph-Étienne LeBel estime qu’une réflexion s’impose. Pour lui, il est clair que l’usage des technologies fait entre autres partie du problème.
Tout le monde est joignable tout le temps. Il faut tout le temps être dans l’action. Quand quelqu’un ne répond pas, on se demande pourquoi. Pour quelqu’un qui a de l’anxiété, c’est trop. Ton hamster roule tout le temps.
Joseph-Étienne LeBel
Motion à l’Assemblée nationale
Hier, le député Harold LeBel a déposé une motion à l’Assemblée nationale pour notamment « bonifier les ressources en santé mentale et octroyer une aide financière supplémentaire aux organismes en place, dans les meilleurs délais, pour rendre les traitements des troubles anxieux accessibles à tous ».
En point de presse, le député péquiste a affirmé que la société est mûre pour une réflexion. Et les politiciens ne font pas exception. « On est tout le temps sur nos cellulaires. En train de tweeter ou de regarder les tweets des autres. Les jeunes nous regardent aller et embarquent dans le même système », dit-il.
M. LeBel a raconté avoir vécu des moments difficiles quand son fils, en voyage dans l’Ouest canadien, l’a appelé en pleine crise de panique.
Joseph-Étienne LeBel se souvient parfaitement de ce jour-là. Il avait 20 ans et était parti en autostop dans l’ouest du pays.
« J’ai fait une grosse crise de panique. J’étais couché au bord de l’autoroute. Je ne pouvais plus rien faire », raconte le jeune homme.
Au bout d’un certain temps, il a repris le contrôle de la situation. Il a beaucoup voyagé depuis : « J’ai réalisé qu’en faisant des choses qui me font peur, je comprends que c’est pas si pire. Ça m’aide. » Il travaille aujourd’hui dans la restauration et gère bien le stress de ce milieu.
S’il avait un conseil à donner aux plus jeunes vivant de l’anxiété, Joseph-Étienne LeBel leur dirait « d’en parler à quelqu’un ». « Ça a l’air niaiseux, mais ça aide. Et juste le fait que les gens en parlent de plus en plus, ça aide. Savoir que c’est un problème qui dépasse notre seule personne, ça rassure. »
La motion de M. LeBel a été adoptée à l’unanimité, hier, à l’Assemblée nationale. Une motion de « sensibilisation », selon le député, qui espère que la discussion se poursuivra sur le sujet.
Les plaintes digestives peuvent souvent être des manifestations d’une souffrance au travail ou d’un burn-out. L’axe intestin-cerveau est en effet un système de communication bidirectionnel permettant aux microbes intestinaux de communiquer avec le cerveau et à ce dernier d’envoyer des signaux à l’intestin. Le nerf vague et les mécanismes d’échange entre le cerveau et le système digestif paraissent avoir un rôle dans le maintien de l’homéostasie mentale. L’influence de l’axe intestin-système nerveux central sur le syndrome du colon irritable est bien démontré. Le stress est donc une voie commune entre le syndrome du colon irritable et la santé mentale. C’est ainsi que des troubles comme par exemple la #depression, le #burnout peuvent se manifester par des troubles digestifs. Pour rappel l’axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien souvent désigné par HPA pour hypothalamo-pituitaire-adrénergique permet la communication entre le SNC et le système endocrinien. Il intervient dans la régulation des émotions au travers du contrôle de la libération de l’hormone du stress. Les troubles émotionnels reflètent un déséquilibre de cet axe. Assurer un bonne santé digestive serait une voie avantageuse dans la thérapeutique des troubles liés au stress comme le l’épuisement professionnel ou le burn-out avec son cortège de souffrances. Réf: 1) Les faces cachées du burn-out: Burn-in, bore-out et burn-out, faire face à la souffrance au travail, Celestin, Interéditions 2) Psycho média février 2020, #burnout #stress #travail #digestif
Une consommation faible de boissons alcoolisées aurait un effet positif Sur les fonctions cognitives! On suppose bien sûr avec grande modération! #emotion #cognition #stress
Light to moderate weekly alcohol consumption during middle age could help preserve brain function as we get older. Compared to non-drinkers, those who had a drink or two a day tended to have better performance on cognitive tests over time.
— À lire sur neurosciencenews.com/light-drinking-brain-function-16598/amp/